© Thibault Grégoire
Cie Mossoux-Bonté

Presse

Les choses les plus insignifiantes peuvent avoir un potentiel de vie insoupçonnable (…) Le jeu reste d’une précision chirurgicale et esthétique. Aucune émotion, le cycle cruel et banal de la vie.

F. RLibération / Septembre 2009

 

Monstres qui se livrent à des pulsions terriblement humaines : jouer, rêver, enfanter, aimer, dévorer, tuer...gestuelle sorcière conduite jusqu'à la dévoration de la créatrice par ses créatures... Avant que, lassée, la manipulatrice passe ses monstres à la trappe... Mais voici que la magicienne se transforme en Méduse échevelée et hystérique puis découvrant un frais visage de madone botticellien, se voile et... pousse un braiement effrayant : visiblement, elle se régale Nicole Mossoux, soutenue dans son délire par Thomas Turine, musicien tout aussi furieux et diaboliquement précis.

Les amoureux de ses artistes belges qui mêlent danse, théâtre, musique et peinture dans un engagement physique forcené les reconnaîtront. Bienvenue aux autres dans le monde fabuleux des Mossoux-Bonté.

Danièle Carraz, La Provence / Juillet 2010

 

Kefar Nahum, passionnant du début à la fin, habile, inventif et plein d'énergie, est un travail extraordinaire et nécessaire sur la marionnette.

Matthew Isaac Cohen, Barbican Pit / Janvier 2010

 

Comment ne pas s'extasier face à la maîtrise de la manipulation d'objets, maîtrise signe d'un travail soigné jusque dans les moindres détails ? Incontestablement, Nicole Mossous livre ici une performance exemplaire et un regard nouveau (...)

Laurence Berterls, La Libre Belgique / Septembre 2008

 

Avec son visage qui ne laisse transparaître aucune émotion, jusqu'à sembler de cire, masque de chair derrière le masque à gaz, Nicole Mossoux invente un très beau théâte d'objets. (...)

Mathieu Braunstein, Télérama / Octobre 2011

 

Ici, tout est possible et rien n’est vraiment ce qu’il paraît être.

Jean-Marie Wynants, Le Soir / Novembre 2008