© Sylvain Dufayard
© Patrick Bonté
Cie Mossoux-Bonté

Presse

 Mélancolie en clair-obscur, glissant sur la glace, fendant l'air, Migrations réussit à nous parler de la liberté de se déplacer au monde, et de ses obstacles. "Sur la glace parce que le corps file et se déplace sans contraintes". Très forte, la poésie évoquant la réalité des migrants sans tomber nécessairement dans le réalisme. 

N.A., Focus-Le Vif / Mai 2012

 

On est d emblée séduit par les images belles que crée la contrainte de la danse sur glace avec même ses chutes volontaires sur la glace et ses mouvements agglutinés.

Guy Duplat, La Libre Belgique / Novembre 2011

 

Au fil des évolutions des danseurs, un vocabulaire insolite se dégage. Corps se balançant d’un pied sur l’autre, petits sauts secs sur les pointes, le dynamisme le dispute au graphisme dans un élan continu… 

Rosita Boisseau, Le Monde / Mars 2011

 

La gestuelle, déroutante, provoque de fréquents accidents de parcours, avec des arrêts coupants quand le sol dur impose son rythme au gré des virages. La glace se couvre peu à peu de cicatrices. Dans la lumière rasante, la page blanche est en proie à un brouillon humain polémique dans lequel s'écrivent les contradictions d'hommes qui ne savent pas quelle direction prendre.

Muriel Steinmetz, L'Humanité / Mars 2011